Céphaz en concert avec l’Héritage Goldman
Lors de son passage dans le Grand Est avec l’Héritage Goldman, Céphaz a pris le temps de répondre à nos questions.
Si vous deviez décrire Jean-Jacques Goldman en un mot, quel serait-il et pourquoi ?
Je dirais « pilier » de la chanson française. Il est incontournable.
Sur l’album « L’héritage Goldman 2 », vous interprétez notamment les titres « Encore un matin » et « Je ne vous parlerai pas d’elle ». Comment les chansons interprétées sur l’album ont-elles été choisies ? Est-ce un choix personnel ou sont-elles imposées ?
On nous a déjà proposé le projet. J’ai tout de suite dit oui parce que j’ai découvert Jean-Jacques Goldman lorsque j’avais 18 ans. Je ne parlais pas français à ce moment-là. J’ai appris le français assez tardivement. Cela m’a tout de suite ramené à mes souvenirs, quand je l’ai découvert pour la première fois. J’ai donc dit oui. C’est le réalisateur, Eric Benzy, qui a sélectionné chaque artiste. On est allé chez lui et on a enregistré les titres. Il a trouvé que ça le faisait vachement ! Donc il m’a gardé pour le projet.
Vous partagez la scène avec d’autres artistes : comment se passe l’ambiance en coulisses entre vous ?
C’est une famille ! On s’entend super bien, on rigole aussi, bien que l’on travaille. Il y a une alchimie naturelle.
Après vos succès très solaires : « On a mangé le soleil » et « Toi, tu pars », quels sont vos projets personnels à venir ?
Je vais avoir des festivals d’été qui sont en booking actuellement. Et puis, à côté de cela, je pense qu’en 2023, je ne vais pas avoir de date de concert en affiche « Céphaz », parce que j’ai déjà beaucoup de concerts avec l’ « Héritage Goldman ». Pour l’instant, c’est donc la priorité aux festivals et c’est déjà beaucoup. L’année prochaine, on verra pour les dates de ma tournée.
Journaliste : Laura CAVELIUS
Photographes : Audrey 2 la X Photographie, Sandrine Klein, Axelle , Stéph’Anie Fotografy, Axelle ASTOU BARETH
