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Interview Flash :

Yaya, qui es-tu ? Une âme perdue au milieu de ce monde de brutes, tentant de ne pas se laisser atteindre par la perversion ainsi que par l’égoïsme de l’être humain.

Yaya, quel âge as-tu ? L’âge est subjectif dans mon cas. Le plus important est de conserver son âme d’enfant afin de pouvoir garder cette innocence que nous avons tous tendance à perdre au fil des années qui s’écoulent, tout en ayant la maturité nécessaire pour affronter la vie.

“Yaya Vader” est ton surnom. D’où vient-il ? Alors, c’est un ensemble composé de deux mondes totalement différents qui me tiennent à cœur. Vader étant tiré de l’œuvre Star Wars et Yaya est un surnom qui est dans ma famille depuis ma plus tendre enfance !

Yaya, comment fais-tu pour rester après toutes ces années dans le top des mannequins au Luxembourg et grande région ?

La passion.

Rien ne vous arrête lorsque vous êtes profondément passionnée, bien entourée et que vous croyez en vous-même. Soyez votre meilleure alliée !

Yaya, tu es un phantasme pour beaucoup d’hommes (et de femmes).

Comment le vis-tu ?

Tu le remarques dans la vie de tous les jours ?

Très honnêtement ?

Cela s’apparente parfois à un calvaire. Lorsque vous faites partie de ce monde en tant que femme, les gens ont tendance à ne garder qu’en tête votre enveloppe charnelle et de se raccrocher à cette image sans s’intéresser au reste, oubliant de ce fait que vous êtes un être humain qui mérite également le respect.

Yaya, tu penses continuer encore les photos de charme ?

As-tu d’autres envies ?

Quels sont tes projets ?

La photographie restera toujours une partie intégrante de mon existence ! Je compte bien continuer à laisser mon empreinte sur terre et à persévérer dans cet art tout en me diversifiant quelque peu dans l’audiovisuel !

Yaya, tu as posé pour des shootings dans presque toute l’Europe.

As-tu déjà travaillé dans le reste du monde ?

Si oui où ?

Je n’ai pas encore travaillé en dehors de l’Europe et j’ignore si je prévois de le faire un jour ou l’autre.

Tout dépendra en fait des futures opportunités qui se présenteront ou non à ce moment-là !

PARTIE 2A

Yaya as-tu des conseils pour réussir ?

Croire en soi. Incontestablement. Ne laissez personne vous mettre en tête que ce que vous faites est insignifiant ou que vous ne réussirez pas ce que vous entreprendrez.

Yaya, comment as-tu fait pour te faire connaître ?

J’ai eu la chance de pouvoir travailler avec de grands photographes à travers l’Europe, ce qui m’a permis de pouvoir me faire un nom rapidement !

Yaya, que penses-tu du monde des mannequins aujourd’hui en général ?

A-t-il changé depuis que tu as commencé ?

Je pense qu’entre-temps le monde de la photo s’est libéré d’un poids ou plutôt d’un tabou autour de la nudité. Permettant ainsi d’observer sous un regard nouveau et d’offrir davantage de possibilité aux modèles.

Yaya, tu arrives à vivre de ta passion ?

Vivre de ma passion serait un rêve. Un rêve sur lequel j’ai choisi de ne pas me reposer afin d’assurer mes arrières. Rien n’est acquis dans la vie.

Yaya, combien de tatouages as-tu ?

Quel est ton préféré ?

Pourquoi ?

Je me considère un peu comme une œuvre d’art à part entière, un peu comme si chaque tatouage était une pièce d’un puzzle afin de me compléter et de représenter. Il n’y en a aucun qui représente plus à mes yeux que les autres…

Yaya, quel a été ton tout premier tatouage ?

Que représentera le dernier à ton avis ?

Je n’ai pas réfléchi à ça à vrai dire et pour être toute à fait honnête je pense continuer à envelopper mon corps jusqu’à ce qu’il n’y ait plus aucune place de libre sur celui-ci.

Yaya, tu te fais tatouer suivant tes envies du moment où tu as un plan très précis des motifs qui habillent ton corps ?

J’avoue avoir tendance à être une personne assez impulsive et à réagir à l’instinct. Parfois mes tatouages me viennent selon mes envies parfois ceux-ci sont étudiés. Mais avant toutes choses, ils prennent la signification que je leur donne.

Yaya, regrettes-tu l’un des dessins sur ta peau ?

On ne peut pas réellement user du terme “regrets” à proprement parlé. Ils ne perdent pas non plus leur sens et signification avec le temps. L’unique chose que je suis capable de dire c’est qu’au fil du temps l’histoire qu’ils représentent s’ancrent dans la peau. Au sens propre comme au figuré.

Yaya, comment imagines-tu ton corps à soixante ans ? Je vais vous laisser le découvrir par vous-même au moment venu !

Yaya, le mot de la fin pour cet interview serait ? La suite dans le prochain épisode !

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