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Oct 24, 2024 | ACTUALITES, Bien-être, Thémes

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L’enfant est le symptôme de sa généalogie

Comprendre le projet sens avec : fausse couche et diabète

Dans une démarche de connaissance de soi il est important de connaitre notre projet-sens (1) en décodant les circonstances et l’ambiance familiale autour des 18 mois qui précèdent notre naissance. Durant les 9 mois précédant la conception et les 9 mois de grossesse l’enfant en devenir se charge des ressentis de ses parents.

C’est une période très importante dans la construction de l’enfant qui est alors extrêmement réceptif aux ressentis de ses parents. Ces ressentis qui ne lui appartiennent pas deviendront plus tard ceux qui lui permettront d’affronter sa future vie.

Nous nous chargeons dans cette période des informations qui pour notre inconscient constitue un bagage de ressources qui pourront nous aider à affronter le monde. Pour notre cerveau, qui est programmé pour notre survie, tout ce qui vient des parents durant cette période est mémorisé dans l’inconscient et ressortira sous forme de comportement, maladies, croyances, etc. lorsque nous serons confrontés plus tard à des situations chargées de stress.  

Nous apprenons déjà avant de naitre ce que seront les dangers de demain. Plus tard, face à une situation stressante et donc reconnue comme potentiellement dangereuse par notre cerveau, ce dernier ira chercher dans sa mémoire inconsciente les programmations de nos parents. Voici quelques pistes qui vous permettront de mieux comprendre comment se met en place le projet-sens.

L’enfant qui nait après une série de fausses couches

Observons dans ce premier volet les programmes qui vont circuler des parents vers le fœtus lorsque la mère enceinte vie un stress en rapport avec la peur de perdre son enfant.

Étudions le cas suivant : L’enfant est né après une série de fausses couches et la mère a dû rester alitée plusieurs semaines pour éviter une nouvelle fausse couche.

La peur de la mère pourrait s’exprimer ainsi : “L’enfant ne tient pas”, “Il ne s’accroche pas”, “À tout moment il risque de lâcher…“.

La croyance (inconsciente) transmise à l’enfant sera donc la suivante : “Pour survivre Il faut tenir bon, s’accrocher…”.  Le programme de cet enfant sera plus tard de : “tenir bon à tout prix” dans tous les sens du terme. Dans sa vie il va s’accrocher ! Peut-être sera-t-il un très bon escaladeur à mains nues (sans sécurité) qui rejouera sans cesse l’histoire de sa naissance en se mettant en situation de ne jamais devoir lâcher la paroi (utérine) au risque de mourir. Sur le plan psychologique cela pourrait donner de l’obstination, de l’entêtement et donc une difficulté à revenir sur ses positions (convictions) car cela serait synonyme d’échec et donc de mort. Cela le conduira à un certain acharnement à mener les projets à leur terme. Car pour lui, abandonner ou renoncer, c’est mourir !

Ce type d’individu est bien évidemment près à de nombreux sacrifices pour arriver à ses fins, et il sera bien difficile de les “désarçonner”, de les faire “chuter” ou “tomber” (par exemple les destituer de leur poste). Pour eux chuter (dans l’échelle sociale ou autre…) c’est renoncer au désir de leur mère, c’est la décevoir et pour son cerveau cela signifie simplement mourir.

Une des maladies pouvant être associé à ce ressenti de devoir « résister », « tenir le coup », est le diabète.  Le pancréas diminue les sécrétions d’insuline et le diabétique conserve une quantité de sucre et donc de (carburant) toujours disponible dans le sang. On garde des réserves d’énergie en cas de coup dur. En hébreu, diabète se dit souqua. Cette racine, parmi ses significations, veut dire : ramer. Il y a une notion de résistance dans le fait de ramer. On avance uniquement grâce aux résistances. La racine propose de travailler sur la résistance, mais en ramant. C’est la résistance qui fait avancer le diabétique. Le rameur plus il pousse, plus il résiste, plus il avance.

Un peu de « langue des oiseaux » et de physiologie pour comprendre que ce qui sécrète l’insuline dans le pancréas : ce sont les îlots de Langerhans. De l’îlot pour rejoindre le rivage tu es obligé, de ramer. Souqua donne le mot “souquer” qui est une technique particulière de ramer. En fait on pourrait aborder le diabète par : est-ce que tu te sens isolé, seul sur une île déserte ? Ta vie se résume-t-elle à résister pour avancer ?

Comprenez que cette enfant plus tard ne se tournera pas spontanément vers des pratiques tels que le Yoga, la relaxation, la philosophie Zen, etc., soit tout ce qui invite au lâcher prise. Car s’il « lâche prise », il décevra sa maman. Pour lui, lâcher-prise c’est décrocher et mourir. Voilà comment vous pourriez obtenir l’effet contraire de ce que vous recherchez. Proposer d’apprendre le « lâcher-prise » à un diabétique ou un « survivant de fausse couche » peut s’avérer très angoissant pour eux.

Ce bébé doit sa vie au fait de s’accrocher et de résister. Si vous devez votre vie à votre capacité à vous accrocher, à tenir le coup, alors votre vie se résumera à résister et le diabète pourra devenir votre meilleur allié !

S’il y a eu de longs moments de lit, et de plus, des médicaments pris afin d’assurer le “tenue” de l’enfant, cela sera encore plus important. L’enfant ensuite tiendra … et se tiendra bien dans la vie. Ce sera du moins son programme et ses valeurs. Si la mère attribue la survie de son bébé à la prise des médicaments cela pourra se traduire par une croyance pour l’enfant que le médicament est nécessaire en cas de difficulté. Dès le moindre stress ou difficultés dans sa vie il se tournera vers la médecine ou la chimie qui sauve. Car pour son cerveau médicament = survie.

Supposons maintenant que cette mère n’est pas supportée de rester alité durant des semaines entières.  L’enfant dans le ventre enregistre le programme suivant : “Rester immobile, allongé est insupportable”.  La croyance qui va passer à l’enfant est « Rester immobile = stress ». Sa mère lui demande donc inconsciemment de ne pas rester immobile. Plus tard il réalisera le désir inconscient de sa mère : « bouger est libérateur » et à l’opposer le repos, s’allonger, faire la sieste, est alors synonyme d’inconfort et de stress. Pour l’enfant, rester immobile deviendra impossible. Il pourra devenir hyperkinétique (toujours en mouvement) pour faire ce que sa mère aurait aimé faire pendant des mois.

Les enfants réalisent les programmes inconscients de leurs parents, en particulier ceux chargés de stress autour de leur conception. Alors qu’elles sont les vôtres ?

Les ressentis et croyances inconscients parentales gouvernent une grande partie de notre émotionnel d’aujourd’hui. Nos comportements, nos choix de vie, nos hobbies, nos maladies…tout ce que nous faisons, pensons, imaginons… ne sont en réalité que des réponses aux programmes inconscients de nos parents dont une grande partie est transmise durant cette période de péri-conception.


  1. Période très programmante 18 mois avant notre naissance Concept crée par Marc Fréchet psychologue-clinicien

Je vous propose d’apprendre à décoder vos programmations, de découvrir votre projet-sens afin de ramener à la conscience vos croyances et vous en libérer. Le décodage biologique des maladies donne du sens à vos symptômes, comprendre l’origine de nos programmations, ce que sont les peurs, les valeurs ou les croyances parentales nous permet d’aller encore plus loin sur le chemin de la guérison.  

La prochaine formation sur ce sujet se déroulera les 10 et 11 novembre 2024 et se présentera en 2 journées (voir ci-dessous).

STAGE – L’ENFANT : COMPRENDRE SES MALADIES, SES COMPORTEMENTS ET SES DIFFICULTÉS SCOLAIRES.

Le 10 et 11 novembre 2024 à Sarrebourg (ou en Visio).

« L‘enfant (que nous sommes) est le symptôme de sa généalogie. La compréhension de l’histoire parentale nous permet de nous libérer des pressions familiales inconscientes. »

PROGRAMME de la formation des 10-11 novembre prochains

Approche psycho-bio-généalogique des problèmes infantiles

  • L’empreinte de naissance : comment la période de conception, de grossesse, ainsi que l’accouchement et les premiers instants de vie nous programme.
  • Difficultés scolaires, hyperactivité, troubles du comportement, maladies infantiles… comprendre le sens de ces symptômes pour les déprogrammer.
  • Les maladies infantiles et leur sens

OBJECTIFS PÉDAGOGIQUES

  • Repérer les causes d’une problématique familiale qui affecte l’enfant et proposer des solutions.  Un travail individuel sera fait sous forme d’exemple pour ceux souhaitant aborder leur « projet-sens »

Inscription via le lien suivant : https://www.alsacenaturo.com/booking-calendar/decodage-biologique-de-l-enfant?referral=service_list_widget. Renseignements complémentaires : +33 6 95 30 37 87 ou  [email protected]

Tarif : 180€ (Règlement après la formation)



Publication : Éric Klein, praticien Shiatsu | Retrouvez moi sur mon site internet http://bioshiatsu.fr, sur mes pages Facebook, LinkedIn et Instagram,

Pour me contacter directement par courriel pour une séance ou un atelier de Shiatsu, voici mes coordonnées : [email protected] ou par téléphone  : +33 (0)6 49 01 51 09.


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