Le Cercle royal d’escrime d’Arlon, c’est plus de 100 tireurs de tous les âges, gérée par une équipe dynamique, sous la présidence de Raphaël Gérard.
Le club propose un enseignement à l’épée et au fleuret avec Maître Marx, aidé de Philippe Smith et Quentin Slagmuylder.
« L’escrime est un sport à multiple facettes qui exige non seulement de la concentration et de la discipline, mais également un véritable sens de l’honneur. C’est ce dont le monde a besoin aujourd’hui. L’escrime possède un énorme héritage, et je suis convaincu qu’il doit être partagé avec des millions de personnes, en particulier avec la jeune génération.»
(Peter Usmanov – Président de la Fédération Internationale d’Escrime) L’escrime est un sport de combat où les adversaires, choisis ou désignés sans considération d’ordre morphologique comme les catégories de poids, s’opposent par l’intermédiaire d’une lame d’acier. Ce type de confrontation est unique dans les sports de combat. Il en découle une très grande diversité de situations qui requièrent de la part de ses pratiquants, la mobilisation de toutes leurs facultés physiques et mentales, ainsi que la maîtrise d’une gestuelle spécifique très élaborée.
Pour les enfants de moins de 6 ans, des sections spécifiques sont proposées,animées par Quentin Slagmuylder:
○ le kiddy- escrime (4-5 ans) et ○ le mini-escrime (5-6 ans), Avec du matériel adapté au jeune âge, les enfants découvrent les bases de l’escrime, dans le jeu et dans le plaisir.
Le tournoi international d’Arlon Chaque année, début octobre, le club organise un Tournoi International d’escrime auquel participent environ 200 escrimeurs venant des quatre coins de Belgique, mais également de France, de Hollande et du Luxembourg.
Les 3 armes
L’épée Si l’épée est souvent considérée par le grand public comme plus facile à comprendre, c’est que c’est la seule arme qui ne répond pas à des règles de priorité et tout le corps est considéré comme surface valable. En effet, le premier épéiste qui touche marque le point. Si les deux adversaires se touchent en même temps, les deux marquent un point. Comme le fleuret, le tireur touchera de la pointe.
Le fleuret Souvent qualifié de « grammaire de l’escrime », le fleuret est généralement la première arme mise entre les mains d’un jeune escrimeur. Le fleurettiste touchera son adversaire de la pointe et ce, sur les surfaces dites valables à savoir le tronc. Le fleuret étant une arme conventionnelle, le tireur devra prendre la priorité afin de marquer un point.
Le sabre
Également une arme conventionnelle, le sabre permet au tireur de toucher avec la totalité de la lame. La mise en garde étant donc différente (car la pointe ne doit pas être vers l’avant) l’arme est dotée d’une poignée protégeant les doigts. Cette arme trouvant son origine dans la cavalerie, les surfaces valables sont celles situées au-dessus de la ceinture.