20 ans : une grande partie de ceux-ci empreinte de musiques, dont les siennes.

Son timbre de voix est en symbiose avec ses textes, écrits en anglais, tantôt coton, tantôt lame de rasoir, toujours d’une interprétation prenante.

Formée à l’académie de musique de Bouillon (et un passage à celle de Bertrix), au chant, au piano et à la guitare, Léa POCHET ne tarde pas à trouver en la musique son moyen d’expressions privilégié.

Léa est par nature réservée : l’odeur d’une scène des plus simples la libère.

A 16 ans, le groupe « Watch Out » qu’elle anime au chant et à la guitare (notamment avec son frère Elie à la batterie) reprend uniquement des compositions d’autres chanteurs des plus connus. Particulièrement lors d’un festival à Muno, sa voix se fait remarquer par quelques musiciens et organisateurs locaux. Mise en confiance, et parce que les autres membres du groupe ne la suivent pas, elle prend l’initiative en 2015 de s’inscrire seule au concours « IMAGINE » des Jeunesses Musicales belges. Cela lui permet de découvrir la salle de concerts « l’Entrepôt » à Arlon, mais aussi, au cours de sa progression dans le concours, les mythiques salles bruxelloises de Flagey et du Botanique (en finale belge). En mêmes temps le groupe arlonais ZEPHYR lui propose de poser sa voix sur le morceau FROZEN LOVE.

photos de Loïc WARIN

Tant en solo qu’avec Watch Out, ses nombreuses prestations la font découvrir en sa région ; jusqu’à ce concert à Habay où le guitariste Elyo Garnier fait part de son envie de rejoindre le groupe. Léa sort alors de son chapeau ses quelques compositions tenues confidentielles jusque là. Elle sort un premier EP, live d’un concert en solo à l’Entrepôt.

Le groupe désormais à quatre membres devient « LEA POCHET AND THE CONFUSED », en référence à sa compo « Confusion ».

On retient qu’à deux reprises mais par purs hasards et coïncidences, Léa et Elyo ont la joie d’ouvrir un concert de BJ SCOTT, à Bastogne et Chênée.

Puis Léa inscrit son groupe au concours des « Parcours Amplifiés » de la Province de Luxembourg. Retenu, il bénéficie alors de plusieurs mois de formation à la scène, à la cohésion de groupe, aux entretiens des instruments …  ; mais plus essentiellement et sous les conseils bienveillants de l’ex-batteur belge des Scorpions Rudy Lenners, il peaufine le titre STOP NOW. Avec l’aide indispensable d’un crowfunding, en autoproduction ce titre est mis en images sous forme de clip et un deuxième EP nommé « Confusion » voit le jour.

Le groupe est entre-temps invité à quelques festivals et festivités (Hotton, Izel, Arlon, Bouillon, …). Un passage dans l’émission RTBF « les Ambassadeurs »,

Jusqu’au mois d’août 2017, où Léa est contactée par l’équipe de production de THE VOICE BELGIQUE qui est à la recherche de « talents » ayant déjà une petite ou grande expérience de la scène. Léa propose aux « blind » un titre un peu rock, et son choix fait mouche : le siège de BJ SCOTT se retourne. La chanteuse d’origine américaine lui demandera hors antenne où elles se seraient déjà rencontrées, et Léa le lui rappellera.

A ce jour de rédaction de ce texte, dans ce télé-crochet Léa accède au 4eme live prévu le mardi 10 avril 2018.

Trop avide de faire connaître ses compos, Léa a déjà re-inscrit son groupe au « Tremplin Solidarités ».

Si l’envie de découvrir ses univers (des fois rock, mais pas que …) et d’acquérir l’un de ses EP vous prend, vous pouvez écrire à [email protected]

Vous pouvez suivre Léa Pochet et ses compositions sur Facebook, Youtube, Tweeter, ….

photos de Loïc WARIN

“De vos pensées les plus sombres à vos idées les plus folles, les Confused retracent l’histoire d’une vie.. votre histoire. Nos morceaux voyagent entre une véritable descente aux Enfers et un monde lumineux. Personne pour vous placer dans une case, des démons qui se baladent dans votre tête, les murs se resserrent, les portes se claquent, mais vous ne vous êtes jamais sentis aussi vivants. A toutes les petites âmes perdues, ces chansons sont les vôtres.”
« Léa Pochet and The Confused », groupe aux tendances Pop/rock et aux allures obscures.

Logo : Extrait d’une peinture de Julie JACQUEMIN (Sainte-Cécile)