Aider les refuges à faire face en Wallonie .
à la crise sanitaire La Ministre du Bien-Être animal, Céline Tellier, s’est rendue ce vendredi 18 février au refuge « Animal sans toi…t » de Faimes (province de Liège).
En plus de remercier le secteur pour son investissement pour les animaux, la Ministre a annoncé une mesure concrète de soutien.
De manière complémentaire aux appels à projets lancés et à venir, un budget de 266.000€ sera consacré aux refuges dans le cadre de la crise sanitaire.
En clair, chaque refuge va pouvoir bénéficier de 2.000€ pour l’aider dans ses frais quotidiens, plus difficiles à couvrir en période de crise.
La Ministre Céline Tellier a décidé d’octroyer une 3e tranche d’aide aux refuges dans le cadre de la crise sanitaire. Les précédentes tranches, étaient de 1.500€ et 1.000€.
Cette nouvelle aide s’élèvera à 2.000€ par refuge, pour une enveloppe totale de 266.000€, et couvrira les frais entre le 1er mars 2021 et le 29 avril 2022.
Les dépenses couvertes peuvent être liées aux frais vétérinaires, à l’alimentation, aux frais de fonctionnement.
Concrètement, les refuges seront contactés par l’administration qui leur rappellera les modalités pratiques.
D’autres aides prévues L’été dernier, la Ministre a également lancé un appel à projets pour soutenir les refuges et associations dans des projets d’aménagement d’infrastructures, de sensibilisation ou encore pour de grandes actions de stérilisation de chats.
Les résultats seront connus dans les prochaines semaines. Les projets sélectionnés peuvent prétendre à une aide de 15.000€, pour une enveloppe globale de 350.000€.
Un prochain appel à projets est en cours de réflexion pour continuer à soutenir le secteur, notamment en vue des évolutions législatives à venir en matière de normes d’accueil des animaux. Céline Tellier : « Ma volonté est que ces budgets soient utiles, concrètement, sur le terrain, pour les animaux.
Les refuges ont été impactés par la crise sanitaire, avec des dons en baisse, et des prises en charge d’animaux qui se poursuivent, voire augmentent par moment. Il est primordial de les soutenir, à la fois pour leurs frais quotidiens, et pour des projets plus conséquents, par exemple l’aménagement d’infrastructures. Je travaille sur ces différents volets, afin que tous les moyens possibles soient mobilisés pour veiller au bien-être des animaux en Wallonie. »
Source Ysaline FETTWEIS
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