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Juin 30, 2024 | 2024, ACTUALITES, Agenda Concert, Concerts, Juin, Luxembourg, Thémes

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40.000 festivaliers enchantés par les Francofolies de Esch

Une programmation riche

En ce dimanche 9 juin 2024, dernier jour du festival, le line-up de cette édition des Francofolies a été particulièrement riche et diversifié. Ce qui reflète la vitalité de la scène musicale francophone. Depuis les artistes établis jusqu’aux talents émergents, chacun a apporté sa touche unique à l’événement. Les organisateurs veillent à inviter à la fois des légendes de la musique et des talents émergents. Ainsi, ils garantissent une expérience riche et surprenante pour les festivaliers.

Raphaël : un homme authentique

Auteur-interprète-compositeur, Raphaël signe son grand retour avec le titre «Espoir». Son projet est l’espoir de renaître sur scène. Couronné par le Prix Goncourt de la nouvelle en 2017, il est présent sur les Francofolies d’Esch-sur-Alzette.

Il vient de nous faire revivre ses plus grands hits et nous présenter les titres de son nouvel album. Il est indissociable de la scène française. Le concert a pris du sens sur une note triomphale avec «Schengen», une chanson poignante et profondément actuelle. Sa musique est intemporelle et son talent continue d’éblouir des générations de mélomanes.

Olivia Ruiz : 23 ans plus tard aux Francofolies

Du temps a passé depuis 2001 et la première saison de la Star Académy. Olivia Ruiz est devenue une artiste accomplie. Elle est devenue auteure, compositrice, interprète, actrice, réalisatrice et romancière française. Elle s’est offert plusieurs cordes à son arc dans sa carrière artistique.

Sur scène, elle a gardé son identité musicale. De ce fait, cela nous rappelle la nostalgie des titres à succès comme «J’traîne des pieds», «Elle panique» et «La femme chocolat», mais aussi des titres inédits à découvrir.

Olivia Ruiz se distingue par son univers artistique singulier, caractérisé par une fusion de styles musicaux et une grande originalité dans l’écriture de ses textes.

Ses chansons racontent souvent des histoires teintées de mélancolie, d’humour et de tendresse, reflétant une sensibilité à fleur de peau. Elle s’inspire de ses racines espagnoles, intégrant des éléments de flamenco et de musique latine à ses compositions. C’est une redécouverte.

L’Impératrice : une pop chic et lascive

L’Impératrice a le goût de la danse, du groove posé sur une basse virtuose, des synthés vintages et des mélodies pailletées. C’est une fête avant l’arrivé du DJ David Guetta.

L’Impératrice mêle des rythmes dansants avec des textes engagés. Il y a des disciples instrumentalistes de la French Touch qui font le show, comme Charles de Boisseguin, le claviériste, Achille Trocellier, le guitariste, David Gaugué, pour la basse, Hagni Gwon, pour les synthétiseurs et Tom Daveau à la batterie. Flore Bengugui en est la chanteuse et nous confirme, ce soir, son groove léché aux refrains franco anglophones.

Les jeux de lumière sont sophistiqués et les installations artistiques immersives ont immédiatement plongé les spectateurs dans l’univers onirique de L’Impératrice.

La scénographie, signée par des artistes visuels de renom, mêlait des influences rétrofuturistes à des éléments psychédéliques, créant un cadre idéal pour la musique du groupe. Quelle beauté visuelle !

David Guetta : le feu d’artifice musical

Dès les premières secondes du concert, l’atmosphère était bluffante. Les fans, impatients et exaltés, ont accueilli David Guetta avec des cris d’enthousiasme et des applaudissements frénétiques. Le DJ, fidèle à sa réputation, n’a pas déçu. Il a entamé son set avec une énergie débordante. Ils enchaînent les morceaux à un rythme effréné et faisant monter la température de plusieurs degrés avec des funambules de flammes montant sur le devant de la scène.

Les jeux de lumières et les effets visuels étaient à couper le souffle. Des lasers multicolores, des écrans géants diffusant des animations psychédéliques et des jets de fumée ont ajouté une dimension spectaculaire à la performance de Guetta.

Chaque morceau était accompagné d’une chorégraphie visuelle minutieusement orchestrée, plongeant le public dans un univers immersif où musique et images ne faisaient qu’un.

De plus, la qualité sonore était également irréprochable, avec des basses profondes et des aigus cristallins, permettant à chaque note de résonner avec clarté. L’ingénierie sonore, essentielle dans ce type de performance, a été parfaitement maîtrisée, contribuant au succès du concert.

David Guetta a puisé dans son vaste répertoire pour offrir à ses fans un voyage musical diversifié. De ses premiers succès comme «Love Don’t Let Me Go» aux titres plus récents comme «Titanium» et «Say My Name», le DJ a su jongler entre les époques et les styles. Il maintient une dynamique constante tout au long de la soirée.

Au-delà de l’ambiance et de l’énergie, c’est la maîtrise technique de David Guetta qui impressionne. Son set, parfaitement synchronisé, témoigne d’un savoir-faire exceptionnel. Chaque transition était fluide, chaque montée en puissance calculée avec précision, offrant un équilibre parfait entre intensité et moments plus calmes.

En route pour de nouvelles éditions

Les Francofolies d’Esch-sur-Alzette se sont tenues au cœur de la ville, transformant ce Parc du Gaalgebierg en une véritable scène musicale. Les festivaliers, venus de tout le Luxembourg et au-delà, ont été accueillis par un décor vibrant, mêlant installations artistiques et stands de nourriture locale, créant une atmosphère conviviale et chaleureuse.

Parmi les têtes d’affiche, le public a eu la chance de voir David Guetta, dont la performance énergique a enflammé la scène principale. Santa et Mentissa, avec leurs pops entraînantes et leurs textes pertinents, ont conquis le cœur des spectateurs. Raphaël, revenu sur le devant de la scène après une longue absence, a livré un concert magistral, mêlant ses classiques à des morceaux de son nouvel album.

Journaliste : Teddy CLAUSSE

Rédacteur de l’article : Emma Chellapen

Photographes :

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Photos 2 La X Photographie

Photos Véronique Mergaux

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