Françoise J. Zimmer : « Quel est le sens de la vie ? »
En seulement quatre ans, Françoise J. Zimmer, a publié quatre livres. Direction Wolkrange pour rencontrer l’autrice au verbe facile et à la plume passionnante. Thibaut Demeyer.
Sur le fauteuil du salon, un chat noir aux allures d’une grande marque de café fait la sieste d’un œil. L’air de rien, il nous observe et nous écoute. Un second félin aux couleurs « écaille de tortue » fait le tour, de manière nonchalante, de la table où nous sommes installés. C’est que Françoise J. Zimmer est passionnée par les chats et ne manque pas d’histoires à nous raconter. Mais notre rencontre a un tout autre objectif : présenter ses ouvrages qui se retrouveront au prochain salon du livre à Bruxelles.
Commençons par l’autrice qui s’appelle François Zimmer dans la vie mais lorsque l’on parle de l’autrice, il est important d’ajouter le « J. ». « Pourquoi le J. ? Parce que d’abord il s’agit de mon second prénom Joëlle mais aussi pour me distinguer d’une homonyme qui écrit des livres de cuisine » nous précise avec un large sourire Françoise.
A l’âge de 24 ans, Françoise Zimmer perd sa grand-mère paternelle dont elle était très proche. « Son départ a été un grand choc pour moi » confie l’autrice. A partir de ce moment, Françoise s’est posé des tas de questions légitimes « quel est le sens de la vie ? Est-ce que tout se termine vraiment avec la mort ? Est-ce que tous les efforts que l’on fait sont vains ? » Des questions qui ont conduit Françoise à faire des recherches sur la spiritualité et à obtenir des réponses qui l’ont satisfaites, l’exprimant en ces termes « la vie continue, c’est quelque chose qui se continue d’une certaine manière ». Ces lectures lui ont permis de découvrir l’œuvre d’Alexandra David-Néel qui avait traduit « Le livre des morts tibétains ». Et comme nous l’explique Françoise Zimmer « dans le dernier livre d’Alexandra David-Néel intitulé « la connaissance transcendante », elle donne vraiment une recette de cuisine pour faire une décorporation. J’ai trouvé cela génial à un point tel que j’ai décidé d’essayer. Au bout d’un certain temps, j’ai fait, sans m’en rendre compte, une décorporation sans être consciente des conséquences sur mon état de santé et particulièrement au niveau des troubles du sommeil. C’est dès lors qu’une collègue de bureau m’a conseillé d’aller consulter un radiesthésiste. A la suite de cette consultation, le radiesthésiste m’a appris à garder et gérer cette énergie. Ce sont donc mes débuts de mon expérimentation dans le monde « spirituel » ».
Le point de départ
Le point de départ du premier livre de Françoise J. Zimmer est la lecture de « Conversation avec Dieu » de Neale Donald Wlasch qui écrit ceci : « surtout ne croyez pas ce que je dis, ce que j’écris. Faites vos propres expériences. » Il n’en a pas fallu plus pour que Françoise suive ce conseil. Le résultat est ce premier ouvrage intitulé « Quand fleurit le lotus » qui est un essai, sorti en 2019 alors que le tapuscrit se trouvait dans son ordinateur depuis 2005. S’en est alors suivi le roman « Les carnets rouges » qui compte deux tomes, le troisième étant en cours d’écriture. L’envie de partager ses expériences est le fer de lance de l’autrice dont la dernière œuvre est un roman initiatique intitulé « La vie en couleurs ».
Si vous souhaitez rencontrer Françoise J. Zimmer, sachez qu’elle sera présente au salon du livre à Bruxelles le dimanche 2 avril 2023, car ce qui compte en premier pour elle « c’est de rencontrer des gens. Mais aussi me faire connaître car en tant que jeune autrice, je suis une goutte d’eau dans un océan. » A défaut de pouvoir vous y rendre, sachez que ses livres sont disponibles sur Amazon, au Cora de Messancy, à la librairie « Dédicaces » à Virton, au Tea shop à Metz et au service du livre luxembourgeois.
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