Waterloo >> marché du Chenois.

Le marché du Chenois à Waterloo.

Le marché du Chenois se tient tous les dimanches matin de 7h00 à 13h00, sur le parking des Pâquerettes à Waterloo, juste derrière la gare, entre l’avenue des Pâquerettes, l’avenue des Cèdres et la rue Emile Dury.

Vous y retrouvez de nombreux exposants qui vous proposent leurs meilleurs produits : fruits et légumes, cafés, épices, rôtisserie, confiserie, plantes et fleurs en pot, fleurs coupées, boulangerie, fromagerie, salaisons, poissonnerie, produits de bouches, diverses spécialités venant de pays étrangers, produits du terroir et bio, textiles, maroquinerie, …

Le marché du Chenois se déroule toujours dans une ambiance fort sympathique grâce au dynamisme de ses commerçants qui pour certains y sont présents depuis des décennies, sans interruption.

N’hésitez pas à faire une pause « Chez Nadine » à la taverne de « la Terrasse du Chenois », à deux pas du marché, pour y prendre un café ou le traditionnel apéro du dimanche matin. Si la météo le permet, vous profiterez des terrasses avant et arrière de l’établissement. Et si le cœur vous en dit, vous pourrez taquiner le cochonnet avec vos amis sur les deux terrains de pétanque ensoleillés. Des boules de pétanque sont mises à votre disposition.

Un peu d’histoire sur Chenois …

Le « Chenois » tire son nom de la langue romane qui signifie chênaie. En effet, à l’époque où Waterloo n’était qu’un petit village, le Chenois se trouvait en lisière de la forêt de Soignes.

Dès 1842, la commune décida d’embaucher des travailleurs afin de paver les rues du quartier pour faciliter les déplacements et le commerce entre Nivelles et Bruxelles

En 1851, un nouvel essor industriel et commercial se remarque avec la finalisation des voies de chemin de fer. Le quartier de la gare voit se développer une savonnerie et une briqueterie qui va fabriquer la célèbre « brique de Waterloo » reconnaissable à sa couleur rouge vif que lui donne sa cuisson au gaz.

Le Chenois sera connu dans toute l’Europe, de la Russie au Portugal, pour la qualité et le professionnalisme de ses paveurs. Un certain Emile Dury en fera d’ailleurs sa fortune. Le premier syndicat de paveurs s’y sera créé. La fanfare des paveurs du Chenois y donnait l’aubade lors des jours de kermesse.